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Celui qui trompe est lui-même le perdant, et non celui qui est trompé.
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La rectitude d’un arc est basée sur sa courbe.
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La soumission (khushû‘) est symbolisée par la prosternation (sajda) dans la prière.
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La clémence (hilm), c’est la tolérance de la création par la vision du Créateur.
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Une personne douée d’une grande intelligence peut devenir athée, tandis qu’une personne douée de sagesse (raisonnable, d’un esprit pénétrant) aura foi en Allah. Un imbécile s’attachera à son dieu.
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Ne dites pas à votre ami votre secret, car il pourrait le révéler à son ami; souvenez-vous que son ami peut avoir d’autres amis à qui il le révélerait aussi.
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La voie menant vers Allah est barrée à un cerveau qui ne questionne pas.
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La place d’un cerveau qui ne questionne pas n’est nulle part que dans l’étable.
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Vous ne vous livrerez jamais à des accusations contre qui que ce soit si vous percevez la véritable identité de celui qui est là.
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Le problème intellectuel que vous n’avez pu résoudre comportera toujours une certaine relativité.
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Si une certaine relativité subsiste en vous, vous ne pouvez pas être purifié (tat-hîr).
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Le shirk est détruit lorsque “la relativité” est abolie; de là commence alors “le néant”.
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“Tahajjud” est l’état (hâl) de celui qui veille la nuit pour dire ses prières (çalât).
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L’interprétation du Coran non basée sur le Soufisme, est comme un corps mort sans âme.
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L’ablution est en vue de se purifier des pensées qui génèrent le shirk.
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En vertu du système d’Allah, demain est inclus dans aujourd’hui tout comme hier existe aujourd’hui.
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C’est un don que d’être capable d’aimer une personne dans son état présent plutôt que dans son état d’hier.
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Le Nom n’est pas le Nommé; comprenez que le signifiant et le signifié sont totalement différents.
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Le Soufisme (Taçawwuf) est la connaissance ésotérique du Coran.
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Une personne commune est celle qui juge les apparences et les événements dans leurs états correspondants.
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Si vous pouvez lire l’essence de ceux que vous regardez, vous faites partie de l’élite spirituelle (khawâç).
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L’appréciation de ce qui est donné (ni‘mat) rapportera davantage.
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L’homme est doué de sagesse (hikma), et la femme est douée de puissance (qudra).
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C’est la perfection (kamâl) de l’autre [personne] qui fait parler une personne.
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Celui qui se met en colère contre les autres, est en réalité, en colère contre sa propre incompréhension [de la situation].