Les propositions offertes en Islam ne se présentent pas comme un ensembles de règles auxquelles on doit obéir complètement ou pas du tout. C’est une fausse interprétation de l’Islam. Chacun est libre de pratiquer autant qu’il le peut pour son propre bénéfice, et le reste pour sa perte.
Aucune des actions faites en vue d’une rémunération quelconque n’est prise en considération. (Si une pratique est faite en vue d’un profit quelconque, elle n’est pas valable dans le Dîn). Elle est de toute évidence réalisée dans un but commercial et ne peut par conséquent être considérée comme une action pieuse “‘ibadat).
Il n’y a pas de classe d’autorité religieuse dans le Dîn al-Islam. Quel que soit le titre religieux qu’il détient, personne ne peut agir au nom du Prophète qui a reçu la Révélation. Personne ne doit suivre quiconque, en dehors du Prophète. La religion islamique n’est en aucun cas le monopole d’une personne, d’une communauté ou d’une institution. Il est du devoir de chacun d’apprendre sa propre religion convenablement, en se référant aux sources d’origine, comme il est de son devoir de la pratiquer autant qu’il le peut. Si quelqu’un a été mal informé, il en est responsable et n’a par conséquent aucune excuse.
Toutes les prières qui nous ont été transmises par le Prophète sont des pratiques totalement basées sur des réalités scientifiques. Elles n’ont jamais pour but de plaire à un dieu là dehors, au-dessus du monde, loin de nous. ALLAH qui, de rien, a existence l’univers n’a besoin de la pratique de personne. Tout comme les aliments que vous mangez fournissent à votre organisme l’énergie dont il a besoin, les prières (‘ibadat) subviennent aux besoins de votre vie après la mort. Elles sont relatives à la “connaissance” et à “l’énergie” que votre cerveau a pu emmagasiner, en d’autres termes votre esprit.
Les pratiques peuvent être classées en deux principales catégories selon l’avantage physique ou mental que nous pouvons en tirer. L’avantage gagné physiquement renforce l’activité mentale et par la suite, développe la capacité du cerveau, donc celle de l’esprit.
La répétition constante de mots, une pratique appelée “dhikr”, fait que vous réalisez les qualités universelles que sont les noms d’ALLAH qui existent dans votre propre être, et par là, augmente la puissance de votre esprit en développant la capacité de votre cerveau et son énergie. Par exemple, la répétition du mot “Murîd” un certain nombre de fois par jour qui est le nom de la qualité d’Allah d’être “le voulant”, accroît la puissance de la personne à vouloir. La répétition du mot “Quddus” ajoutée au mot “Murîd” aide la personne à se débarrasser de ses mauvaises habitudes. Les gens nerveux, tapageurs, qui sont d’un tempérament irritable, qui explosent facilement, qui ne se contrôlent pas, retrouvent le calme peu de temps après avoir commencé à répéter le nom Halîm”. Tout ceci se réalise lorsque les cellules du cerveau sont programmées dans les fréquences correspondantes produites par le cerveau.
Ce fait a été récemment prouvé dans un laboratoire d’expériences scientifiques et a été publié par John Horgan dans un article de la revue “Scientific American” de Décembre 1993.
Plus la capacité du cerveau d’une personne augmente, mieux il réalise et connaît ALLAH comme étant la vérité des qualités exprimées en lui-même.
“ALLAH” n’est pas un dieu quelque part dehors, ou un dieu au-dessus de nous. Il est le nom de l’UN suprême (Akbar) qui, de rien, existencia tout par Sa propre existence, par Sa propre science. Dans le système holographique, Il existe avec toutes Ses qualités dans chaque particule. En termes soufis (Taçawwuf), il existe à chaque point par toutes Ses qualités (Sifat), tous Ses Noms (Asma) et Son Essence (Dhât).
En développant la capacité de notre cerveau par l’accomplissement des tâches, nous réaliserons et trouverons ALLAH en nous-mêmes et L’atteindrons par nous-mêmes.
Il y a d’innombrables types d’intelligence à des niveaux différents de longueurs d’ondes, dans l’univers. Certains de ces êtres vivants qui vivent à un niveau plus subtil de la réalité et qui occupent le même espace que notre monde, sont nommés “djinns” dans la terminologie religieuse. Ils trompent les gens avec lesquels ils s’associent en s’introduisant comme des intrus, des extra-terrestres ou “UFOs” (objets volants non identifiés), venant d’un autre espace et/ou comme des esprits de personnes décédées et même de saints (awliyâ). La ruse la plus courante qu’ils utilisent est celle d’imposer aux gens qui dépendent d’eux, l’idée de “réincarnation” qui est, à l’origine, une croyance hindoue et qui n’a rien à voir avec l’Islam. Leur désir est de faire en sorte que les êtres humains passent à l’autre vie d’après la mort, sous forme d’esprits impuissants, et qu’ils soient facilement capturés et obsédés par eux dans cette dimension. Pour atteindre ce but, les djinns font toujours en sorte que les gens soient conditionnés par ces idées et s’éloignent des enseignements du Coran.
La sorcellerie et la magie sont des pratiques totalement étrangères à l’Islam. Le Coran les rejette.